JO 2024 : quel rôle pour les scientifiques français ?
Date:
Mis à jour le 20/12/2024
Alors que l’échéance des Jeux Olympiques de Paris 2024 approche à grands pas, les athlètes peaufinent les derniers détails pour espérer gravir la première marche du podium de leur discipline et de leur catégorie. Alors que chaque détail compte, les sciences du numérique jouent, dans cette préparation, un rôle crucial, en fournissant des données précieuses, en développant des outils et des techniques innovants, et en facilitant une approche plus personnalisée et efficace de l'entraînement et de la compétition.
Durant ces prochains mois et jusqu’à l’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, Inria et ses partenaires vous font découvrir, au travers d’un nouvel article publié toutes les deux semaines, les différentes facettes de l’accompagnement scientifique des sportifs et sportives de haut niveau, tant dans l’amélioration de leurs performances que dans la prévention de leurs blessures ou la recherche d’une récupération optimale.
.
La prévention de blessures liées à la pratique sportive est devenue une préoccupation majeure dans la préparation des athlètes de haut niveau. Un enjeu dont la recherche en sciences du numérique s’est emparée.
La recherche en sciences du numérique offre aujourd’hui un arsenal d'outils et de techniques qui révolutionnent l'entraînement et l'amélioration des performances des sportifs de haut niveau.
Alors que les données récoltées dans le monde du sport représentent une opportunité immense pour les athlètes et leurs entraineurs, elles soulèvent également des questions sur la confidentialité, la sécurité et la fiabilité de ces informations.
Dans ce cadre du projet européen ShareSpace, l’équipe-projet MimeTIC du Centre Inria de l’Université de Rennes élabore un cas d’usage où des coureurs et coureuses cyclistes vont s’entraîner à réussir leur échappée du peloton.
Zoom sur les travaux d’Anne-Hélène Olivier, chercheuse au sein de l’équipe-projet VirtUs, consacrés aux effets persistants de la commotion cérébrale chez les joueurs et joueuses de rugby.
Comment s’assurer que des "fan zones", telles que celles des Jeux Olympiques de Paris 2024, soient adaptées, accueillantes et sûres pour tous et toutes ?
De plus en plus, les retransmissions d’épreuves sportives affichent dans les vidéos le nom des athlètes, le record à battre, la vitesse des balles, etc. Mais ces données sont-elles pertinentes et bien présentées pour les spectateurs ?
Les fédérations sportives, longtemps sceptiques face à l’arrivée de la réalité virtuelle dans leur domaine, s’intéressent désormais aux avantages de cette technologie dans le cadre de l’entraînement des athlètes.